L’image, la photographie ci-dessus doit être regardée comme un symbole, comme l'espoir d'une mise en mouvement de mathématiques trop statiques. Je l'ai copiée-volée/empruntée parmi d’autres illustrations à la rubrique « Surréalisme » de l’Office de Tourisme de Bruxelles.
Il y a le réel...
Il y a trois suppositions. La première, ou plutôt l'une, car c'est déjà trop d'y mettre un ordre, si arbitraire qu'il soit, est qu'il y a [...]. On nommera cela réel ou R.
Cette photographie est celle d'une réalité provoquée, mise en scène. Un instant de réel choisi, reconstitué pour nous parler, pour raconter...
il y a le langage...
Une autre supposition, dite symbolique ou S, est qu'il y a de la langue, supposition sans laquelle rien, et singulièrement aucune supposition, ne saurait se dire.
C’est ce langage qui me permet d’évoquer, de rechercher et peut-être d’échanger avec vous ces affinités posées en titre, comme un principe, entre nous.
il y a l'imaginaire.
Une autre supposition enfin est qu'il y a du semblable où s'institue tout ce qui fait lien : c'est l'imaginaire ou I. (Les noms indistincts, J.C. Milner)
Le réel, l'imaginaire et le symbolique, comme trois anneaux borroméens, entrelacés, séparés mais inséparables...