TRIBUT n.m., réfection (1463) de trebu (av.1350) est emprunté au latin classique tributumqui désignait une taxe, un impot, une contribution et quelquefois, au figuré, un présent. C'est le neutre substantivé de l'adjectif tributus « qui concerne les tribus », de tribuere, proprement « répartir entre les tribus (tribus) », d'où « répartir, partager ». (→ attribuer, rétribuer). <> Le français tribut a supplanté l'ancienne forme populaire treûd (1080), treü (1125), issu du mot latin par voie orale et encore relevée au XVIIe siècle. De même, en ancien provençal, la forme empruntée tribut (v.1140) s'est trouvée en concurrence avec la forme populaire traüt. (Le Robert Dictionnaire historique de la langue française).
TRIBUT n.m., réfection (1463) de trebu (av.1350) est emprunté au latin classique tributumqui désignait une taxe, un impot, une contribution et quelquefois, au figuré, un présent. C'est le neutre substantivé de l'adjectif tributus « qui concerne les tribus », de tribuere, proprement « répartir entre les tribus (tribus) », d'où « répartir, partager ». (→ attribuer, rétribuer). <> Le français tribut a supplanté l'ancienne forme populaire treûd (1080), treü (1125), issu du mot latin par voie orale et encore relevée au XVIIe siècle. De même, en ancien provençal, la forme empruntée tribut (v.1140) s'est trouvée en concurrence avec la forme populaire traüt. (Le Robert Dictionnaire historique de la langue française).
L'évidence géométrique [...] est dans le segment de ligne comme intersection de deux surfaces ; on en est resté là pendant un million d'années [...] cette géométrie [...] n'est pas faite de concepts [de] la contemplation des formes naturelles puis [de] leur abstraction spontanée »
« Effectivement, pour Leibnitz, les monades ne sont pas des points ou des atomes, il les appelle des « points métaphysiques », ce qui est prodigieux. Ce ne sont pas des entités en elles-mêmes, mais elles existent comme des intersections de points de vue et il y a quelque chose de profondément vivant dans la monade. »
Daniel Lacombe était un savant et c'était sans doute le seul défaut qu'on pouvait lui attribuer. Sa science était, avant toute autre, celle par laquelle s'exprimait tout savoir : la science du langage. Cela lui donnait un point de vue, une hauteur de vue qu'il s'efforçait de masquer auprès de ses interlocuteurs. Avec lui ou plutôt face à lui seule l'interrogation était possible ou envisageable : quel qualificatif pouvait-on lui adjoindre (lui attrribuer semblait bien audacieux) ?
TRIBUT n.m., réfection (1463) de trebu (av.1350) est emprunté au latin classique tributumqui désignait une taxe, un impot, une contribution et quelquefois, au figuré, un présent. C'est le neutre substantivé de l'adjectif tributus « qui concerne les tribus », de tribuere, proprement « répartir entre les tribus (tribus) », d'où « répartir, partager ». (→ attribuer, rétribuer). <> Le français tribut a supplanté l'ancienne forme populaire treûd (1080), treü (1125), issu du mot latin par voie orale et encore relevée au XVIIe siècle. De même, en ancien provençal, la forme empruntée tribut (v.1140) s'est trouvée en concurrence avec la forme populaire traüt. (Le Robert Dictionnaire historique de la langue française).
« Effectivement, pour Leibnitz, les monades ne sont pas des points ou des atomes, il les appelle des « points métaphysiques », ce qui est prodigieux. Ce ne sont pas des entités en elles-mêmes, mais elles existent comme des intersections de points de vue et il y a quelque chose de profondément vivant dans la monade. »
L'évidence géométrique [...] est dans le segment de ligne comme intersection de deux surfaces ; on en est resté là pendant un million d'années [...] cette géométrie [...] n'est pas faite de concepts [de] la contemplation des formes naturelles puis [de] leur abstraction spontanée »
TRIBUT n.m., réfection (1463) de trebu (av.1350) est emprunté au latin classique tributum qui désignait une taxe, un impot, une contribution et quelquefois, au figuré, un présent. C'est le neutre substantivé de l'adjectif tributus, […] proprement « répartir entre les tribus (tribus) », d'où « répartir, partager ». […] (Le Robert Dictionnaire historique de la langue française).
A propos de la mesure des grandeurs
Les grandeurs étudiées dans nos cours sont de nature géométriques : longueurs, angles, aires, volumes ; nous utilisons aussi la masse, mais nous ne l’étudions pas. Il semble dons que ce soit en géométrie que la notion de grandeur devrait être examinée ; le mot grandeur ne figure cependant pas parmi ceux qu’on définit, ou qu’on explique, au début de nos géométries. Après tout, cela n’en vaut peut-être que mieux ; il n’est pas tellement désirable de commencer par des vues trop générales, il serait souvent préférable de s’élever à partir du particulier et, par exemple, d’expliquer ce qu’est une grandeur seulement après en avoir rencontré et utilisé quelques-unes. Mais cela nous ne le faisons nullement et nos élèves seraient très excusables d’être incapables d’analyser les caractères communs aus diverses grandeurs de la géométrie élémentaire, car nous ne les avons pas du tout entrainés à faire l’effort de réflexion nécessaire pour arriver à une vue d’ensemble. […]
Il y a trois suppositions. La première, ou plutôt l'une, car c'est déjà trop d'y mettre un ordre, si arbitraire qu'il soit, est qu'il y a : proposition thétique qui n'a de contenu que sa position même - un geste de coupure, sans quoi il n'est rien qu'il y ait. On nommera cela réel ou R. Une autre supposition, dite symbolique ou S, est qu'il y a de la langue, supposition sans laquelle rien, et singulièrement aucune supposition, ne saurait se dire. Une autre supposition enfin est qu'il y a du semblable où s'institue tout ce qui fait lien : c'est l'imaginaire ou I. De certaines de ces suppositions, se déduisent, par analyse, des séries de propositions qui s'enchaînent. Ainsi, de ce qu’il y a du semblable, on conclura qu’il y a du dissemblable, et de là, qu’il y a du rapport, puisqu’il suffit qu’entre deux termes un rapport existe, pour qu’une propriété commune puisse par abstraction être construite. […] On concluera enfin qu’il y a du représentable, puisque la représentation ne suppose rien sinon la similitude et le rapport. […]
Les touts dont on suppose l’existence pourront alors être liés les uns aux autres en un tissu de semblable et de dissemblable, qu’on peut aussi bien constituer en tout du représentable : ce que l’on nomme la réalité. […]
[…] On entend en particulier par les trois propositions ceci : que rien ne saurait s’imaginer, c’est à dire se représenter, que de I, rien ne saurait exister que de R, rien ne saurait s’écrire que de S. On entend en particulier par les trois propositions ceci : que rien ne saurait s’imaginer, c’est à dire se représenter, que de I, rien ne saurait exister que de R, rien ne saurait s’écrire que de S. […]